Mad Men
Dans le New York des années 60, Don Draper est l'un des grands noms de la pub. Maître manipulateur, il compte dans son entourage des ennemis qui attendent sa chute.
Terminée | Américaine | 50 minutes |
Drame, Drama | AMC, TPS Star | 2007 |
2 avis favorable
2 avis neutre
0 avis défavorable
2.04 - Comme un dimanche
Three Sundays
Tandis que Don et Betty passent le weekend en famille, Peggy rencontre le nouveau prêtre de sa paroisse.
Diffusion originale : 17 août 2008
Diffusion française :
17 août 2008
Réalisat.eur.rice.s :
Tim Hunter
Scénariste.s :
Andre Jacquemetton
,
Maria Jacquemetton
Guest.s :
Bryan Batt
,
Colin Hanks
,
Mark Moses
,
Melinda McGraw
,
Talia Balsam
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 27 septembre 2012 à 20:31 |
J'ai trouvé que cet épisode à manquer de finesse dans l'écriture en ce qui concerne la vie de famille don/betty, ca m'a parut un peu forcé. Par contre, toute la partie gravitant autour d'american airlines a été à l'image du babylone de la première saison, c'est-à-dire rafraichissant, avec un Don particulièrement charismatique. Peggy est en complet décalage avec sa famille vis à vis de son attitude et de ses priorités. Elle se comporte de plus en plus comme ses publicitaires de patrons. Cependant, le point final à son amourette avec le prêtre devrait la faire réfléchir. Du côté de Sterling c'est sympas sans plus. |
Avis neutre | Déposé le 29 janvier 2011 à 23:06 |
Un tout petit peu mieux mais c'est toujours pas folichon. |
Avis défavorable | Déposé le 16 septembre 2010 à 15:21 |
Bon, en dehors du fait que je mettrais bien un pion à la trainée que va voir Sterling je ne vois vraiment pas ce qui aurait pu m'empêcher de somnoler devant ces histoires insipides. Parce que ce n'est pas le petit jeu de séduction de Peggy avec le prêtre qui va me filer la trique, ce n'est pas non plus le pouilleux qui sert de fils à Don et Sally et qui sert de tremplin pour la future émancipation de cette dernière qui va m'enthousiasmer. Mais que dire de cette histoire d'American airlines, de l'euphorie du cabinet jusqu'à sa gueule de bois, métaphore hénaurme du bad beat américain à cet époque (Don qui répète, comme le gros relou qu'il est, face caméra qu'on est en 1963 et que l'histoire est en marche, et bon si vous êtes allés à l'école vous savez que cette année Kennedy n'aurait peut-être pas du opter pour un cabriolet...). Encore une fois c'est quand même bien lourdingue et pas divertissant pour un sou. Bon après, il y a toujours son lot de nanas bien roulées. En fait Mad men c'est comme les chocolats à la liqueur, un bel emballage qui met l'eau à la bouche avant de se rendre compte que qu'il y a comme du caca à l'intérieur. |
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C'est un petit peu mieux que les deux derniers. Un peu plus de Peggy, un Don charismatique en diable. Il ne faut pas grand-chose de plus à un épisode de Mad Men pour être sympathique.